dimanche 28 février 2010

Ne lâchez pas vos chiens sans avoir lu jusqu'au bout

Il y a de bonnes leçons dans l'aventure du communisme qu'il seraient criminel de reléguer aux oubliettes. Celui de Tito au moins, ça, c'est certain. 

Avant de crier au loup et me ranger dans la case mouton, imaginez deux secondes avoir vécu dans un pays où liberté et fraternité n'étaient pas un idéal, mais une mission partagée entre tous.

Puis, imaginez une laïcité comme vous n'en avez jamais vu, qui ne serait plus une règle de vie où l'absence de toute marque religieuse doit être respectée, mais un partage des traditions et des savoirs.

Vous qui à l'école apprenez qu'il y a un argument pour et un argument contre tout... Essayez d'imaginer les arguments pour avant les contre. Et poser de nouvelles questions : Qu'a l'Afrique à offrir ? Que peut apporter l'Asie à l'ensemble que personne d'autre au monde n'apportera ? De quoi les USA ont-ils besoin ? Et nous, les intellos d'franchouilles prise de tête à mort, qu'est-ce qui nous ferait du bien ?

Ma petite voix intérieure, l'amour, et la catin d'moi

Moi : Cause, cause. Qui c'est qui va t'croire. T'es la preuve vivante qu'aimer tout le monde à égalité revient à n'aimer personne en particulier.
Ma Petite Voix Intérieure : Tu me causes tant de peine, pourquoi me parles-tu comme ça ? Pourquoi ce ton qui casse tout avant même qu'on ait le temps de voir ce que ça donnerait ? Tu me donnes froid. Tu veux un monde comme un désert des steppes.
Moi : Je suis ton rempart bécasse. Pleure un bon coup, mouche toi sur mon épaule et on est reparties ma belle. Des blessures d'amour, il n'y a que ça sur Terre. Mais va expliquer ça avec des mots qui ne seront compris qu'à travers le prisme des expériences de l'autre. Ce sont des illusions. Et les illusions sont fortes de leur véracité. Console-toi. Et on repart. Je te protègerai.
Ma Petite Voix Intérieure : Moi j'aimerais que tu me laisses échanger les rôles pour voir. Rien que pour voir. On le fait à ma manière douce, souriante et tranquille, on esquive les coups, et si on s'en prend un, on le soigne et on oublie.
Moi : C'est une destination ça, ma belle, ma libelllule, avec tes trois ailes, en position de déséquilibre stable, comme ça, sur une brindille, tu es toute belle, toi, je suis un dragon, moi, un dragon de feu qui connait sa grimace, que tu n'emmerdais pas comme ça pour des injustices et ton autorité personnelle même quand j'avais trois ans. Je suis faite de ton premier mot qui était NON. Toi, tu es dans cet instant où, le jour de notre premier jour d'école en maternelle, tu as consolé une inconsolable et permis à tous de dormir. Je suis faite de murs, de tous les "tu ne feras pas" et tous les "tu feras à condition de" et "on t'aimera quand tu" et "si tu fais comme ci, t'es des nôtres" et "l'important, c'est que tu sois heureuse" et le clou "c'est tout". Tu te fiches toi, c'est dans ton coeur, ça sort, et tu te fous où ça va. Tu fais. Tu crées. Tu jettes. Tu te fous si on entend ou pas. Si t'as rempli les conditions du succès ou pas. D'ailleurs, si peu entendent... Et les échecs, tout ce que tu ne termines pas, te vont très bien. J'me fiche pas, moi. J'en ai marre, moi. J'ai été une gentille fifille sage à l'école. Une pionnière, ma belle. Je lancerai des bombes quand je serais grande moi, je mènerai la danse, comme la pionnière de la chanson, parce qu'à l'époque où on me l'a apprise, ça n'avait pas l'air d'être trop ça, c'est plus les garçons qui faisaient ce qu'ils voulaient et les filles, la ferme... Puis, on m'a privé de grandir parce qu'on a aboli le rite des Omladinci pile mon année, et d'ailleurs, tout le pays, ils l'ont aboli deux ans plus tard, et Tito, et tout l'amour que j'avais pour tout le monde, ils ont tout aboli, tout ce que j'avais appris, moi, j'ai rien retrouvé ici de tout ça, que toi, et les chansons de Balasevic, et personne avec qui vous partager... sans qu'on vous cogne en essayant de prouver que vous n'êtes QUE de pauvres idéalistes...
Ma Petite Voix Intérieure : Pourtant, si tu viens avec moi en douceur, si on fait trois pas règlementaires de distance avec ce qui fait mal, je te promets, on en esquiverait plein... Et on ferait ce qu'il y a à faire.
Moi : Maiiis y'a rien à faire, arrête un peu. 
Ma Petite Voix Intérieure : Tu t'rends pas compte ! Y'a que toi sur Terre quand tu décides, toi ! Y'a qu'ça sur Terre, de quoi faire et bien faire ! Les ouragans sévissent dans le 77 et ramènent l'odeur de l'atlantique espagnol à 1000 km de là ! Les décisionnaires européens n'arrivent pas à se mettre d'accord ! La confiance est un trophée qui se gagne et par une minorité seulement, celle qui parvient à faire semblant de combler toutes les cases qu'il faut combler ! Ceux qui préfèreraient partager qu'engranger un max pour soi tout seul existent !  Mais ouvre un peu ton coeur et regarde ce qui t'a été donné ! Tu sais donner ta confiance sans condition et la laisser se perdre sans même en garder de cicatrice ! Tu viens d'un monde où l'on construit des autoroutes qu'on nomme "Unité et fraternité" parce qu'elle traverse tout les pays de ton pays ! Tu viens d'un monde où l'on travaille dur la journée à la construction d'un idéal, pour le soir s'allumer un feu de bois, prendre une guitare et chanter tous ensemble en en profitant pour le vivre ! Tu viens d'un monde où la liberté gagnée sur l'horreur de la seconde guerre mondiale se préserve, précieusement ! Tu as promis ! Tu as prêté serment ! Tu dois garder la paix ! Tu as promis !
Moi : Je veux bien moi. Mais on est en France là. Et ce merveilleux pays, je l'ai imaginé, je l'ai rêvé, il n'existe plus et tout le monde s'acharne à te le préciser "tu veux dire l'EX-Yougoslavie ?", non, toi, tu veux toujours dire Yougoslavie, et tu passes pour une nostalgique qui ne vit pas dans ses réalités vraies.
Ma Petite Voix Intérieure : ... souviens-toi pourtant, ce frisson... tous ensemble, unis en une minute de silence en la mémoire de l'homme qui nous a appris la liberté et l'amitié... une sirène qui pleure... les voitures arrêtées dans la rue et les gens comme nous dans la classe, tous debout, en position de salut... le pays constitué de huit pays unis tous en cette pensée qui nous lie, comme si tous les dizaines de millions que nous étions, nous nous donnions la main pour danser. Une minute. Une minute par an. Sept minutes parmi tes 33 ans. Pas plus que sept. Et ce frisson immense, qui ne logera jamais dans si peu de temps... éternel... et que tu désirais tant chaque instant dans chacune de tes relations, même aussi éphémères qu'accorder un dialogue à un fou inconnu... jamais je ne parviendrai à te consoler d'en avoir vécu si peu... de ne pas être arrivée à le transmettre en France où les gens sont si seuls... si seuls dans leurs merdes... d'être devenue comme eux... seule sans ronde au tour du monde... dans ta merde.

Moi : Je n'ai pas l'impression que ça les intéresse...
Ma Petite Voix Intérieure : On t'a appris à fermer ta gueule et considérer pour arrogance tout ce que tu souhaites apprendre aux autres sans qu'ils ne te le demandent. Mais si tu veux créer ça en France, la liberté et la fraternité, mieux qu'écrit sur toutes les écoles publiques, inscrits en lettres de feu dans le coeur de chacun, comme une loi indélébile, comme une responsabilité vitale, leur permettre ici de vivre ce qu'ils croient savoir en le pensant, mais sans y croire vraiment, comme un idéal, ici, inatteignable par définition, si tu le veux, tu le peux. A condition de ne pas attendre qu'on en reconnaisse l'utilité. Prône ! Prône l'honneur et l'union d'un peuple de la Terre ! On s'en fout s'il n'y croient pas ! On s'en fout s'ils te prennent pour une dingue ! C'est ça la vie d'un pionnier ! C'est se prendre les murs pour les suivants ! C'est y croire quand personne n'y croit encore et prouver ! Tu ne prouveras pas en faisant comme eux ! Tu ne prouveras pas en te taisant ! Prône ! Et laisse-toi le vivre avec ton homme, ta chienne, tes enfants à venir exactement ce que tu prônes, pour appuyer tes dire d'une vie concrète !
Moi : Les gens veulent pas entendre les vérités, laisse-moi tranquille avec ça. Je te signale que je prends des coups à chaque fois. Personne ne veut résoudre ses problèmes autrement que par soi-même. De quoi on s'mêle. 
Ma Petite Voix Intérieure : C'est pas qu'ils ne veulent pas. Les mots ne suffisent jamais. Il faut les entendre trois fois minimum et avoir vécu ce qu'ils prônent. C'est que tu finis toujours par perdre patience et déguerpir. Mais la solution continue à travailler sans toi. Oublie l'importance d'être comprise dans l'instant. Chacun vit ce qu'il doit vivre. S'ils te croisent et qu'ils entendent, c'est que sur leur chemin, c'était le moment de l'entendre ainsi, et sur le tien, le moment de le dire de la sorte... Allez viens on leur dit !
Moi : ... t'es folle arrête, ils n'y croiront pas...
Ma Petite Voix Intérieure : Viens ! Viens on leur dit !
Moi : ... ils s'en foutent, arrête...
Ma Petite Voix Intérieure : Allez vieeens !
Moi : ...
Ma Petite Voix Intérieure : Viens on l'fait ensemble !
Moi : .... à la une... à la trois... à la sept :
Nous : Je vous aiiiiiiiiiiiime !

mercredi 24 février 2010

La cause de ma causette

Avec les bénéfices de l'opération de l'armée des anges jusqu'en 2012 nous organiserons une association pour guérir la société et les personnes des maladies que l'on soigne peu ou mal type crises d'angoisses, déprimes, et avant d'en arriver là, en préventive, un service de soutien à l'orientation et la ré-orientation autonome et autodidacte. 

Il faut appeler un chat un chat alors au risque de soulever un débat, j'appellerai ça les maladies de l'âme. Cette part de nous qui ressent, s'emporte, et sait toujours s'il faut y aller ou pas. Ces maladies sont des mots de l'âme, du point de vue d'un vécu.

J'ai quelques raisons de croire que j'ai ma part de savoir née d'expériences en recherche d'une seule chose : comment rassurer tout le monde qu'on puisse enfin jouer ensemble pour de vrai ? J'aurais bien l'occasion de les partager avec vous d'ici 2012. En attendant, commençons à nous unir et y penser. Que faudrait-il construire ? Quels nouveaux ponts entre les gens ? 

Combien d'entre vous sont touchés par l'angoisse ou vivent près de quelqu'un qui en souffre, quel que soit le niveau d'emprise de cette sensation avec un sentiment d'impuissance qui ronge ?

Je ne sais pas dire les choses dont je suis certaine d'avoir la capacité. Mais d'ici 2012, j'aurai trouvé ceux qui libéreront n'importe qui qui y poserait les yeux juste, de l'emprise de la peur. Et je sens déjà que ça sera par la force de mon amour, à l'égard de chacun d'entre vous.

mardi 23 février 2010

2 - Ange de l'amour

"Jeliel apporte la tranquillité, il rétablit la paix entre les époux. Il unifie les principes féminin et masculin et permet la vie harmonieuse. Il donne une solidité ferme tout en étant agréable." (source)
" L'Ange JELIEL permet à l'homme de se rappeler son attachement à Dieu et non aux biens de ce monde. La fidélité apparaît, fidélité, foi en la Lumière et l'Amour. L'Ange JELIEL nous met face à notre mission terrestre, en nous montrant l'objectif à atteindre.

L'Ange JELIEL, de par sa grande sagesse, son amour inépuisable, et sa Lumière nous apporte toujours les solutions devant les problèmes, devant les tumultes émotionnels de chacun. Il a la parole sage, parole que nous écoutons. Inspiré par Dieu, il donne toujours le conseil juste, la parole juste, afin de rétablir la paix et que chacun se replace au niveau du cœur dans ses revendications.

Il porte le drapeau de la Justice Divine. Il porte la Fécondité et donne l'équilibre Masculin/Féminin. Il pousse à la recherche de cet équilibre, et à fonder une grande famille." (autre source)



Il n'y a jamais eu rien de plus important à mes yeux que l'amour. Et si vous voulez bien vous l'avouer, vous constaterez que vous non plus, au final, vous n'avez pas d'autre essentiel. Tout ce après quoi l'on court, gloire, beauté, prospérité, patrie, famille, bonheur, renommée, chance, tout n'est qu'un moyen. Seul l'amour est un cap.  

Très vite cependant, au cours de nos vies, nous sommes chargés de ce que les autres imposent comme condition à cet amour. Or, l'amour est. Simplement, est. On s'y emmitoufle ou on s'en coupe par des mots et des pensées. Ca ne l'empêche pas d'être. Combien de fois on s'dit "Ben que ça m'serve de leçon, au moins, plus jamais ça." Et pas plus tard qu'ensuite, on remet ça comme si jamais on n'avait eu mal. "Comme s'il était Dieu possible d'oublier ses blessures..."


C'est impossible si sur chaque blessure, chaque tiraillement de cicatrice, on impose la pensée de tout ce qui la crée, jusqu'à ce que ça devienne une priorité sur tout le reste et la force d'une déprime. On choisi toujours ses pensées, seulement on le sait pas forcément. Et c'est dans cette perception d'un monde ciel qui peut vous tomber sur la tête que ceux qui soufrent le plus aujourd'hui sont ceux qui pensent encore être sans contrôle sur ses pensées.

Mais si l'on choisit l'amour, la chaleur est là, dans l'immédiat. Elle seule pense les blessures jusqu'au bout. L'amour est un état vibratoire qui chauffe. Vraiment. Lorsqu'on s 'y trouve nos mains sont exceptionnellement irradiantes. Et elles peuvent soigner.

C'est ainsi, l'amour. Une force. Une chaleur. Une énergie pour laisser voler votre âme là où elle souhaite.

Entre époux, c'est le même amour, utilisé en amoureux. Entre parent et enfant, c'est le même amour vécu en famille. Entre amis, c'est le même amour vécu en amitié. Et entre chaque être vivant existant, c'est encore le  même amour qui est seul capable d'unir l'humanité. Et j'vous promets qu'on a sacrément besoin de commencer à se mettre d'accord, en accord et top synchro, pour tout un tas de trucs à faire de l'avenir.

Seules les conditions à l'amour que l'on nous impose en famille et en société nous empêchent d'accéder à l'état d'amour. Elles imposent des cases. L'enfant doit être bon élève. Intello. Artiste. L'amoureux doit être grand, beau, intelligent, aventureux, comme un film écrit rien que pour moi. L'employé doit être efficace, amical et laisser sa vie privée sur le pas de la porte.

J'étais fumeuse, dans l'temps. Les pas des portes, ça me connait. Si vous saviez tous ce qu'on y laisse traîner en heure de bureau... Avez-vous déjà observé la personne qui a tout laissé devant l'immeuble de son bureau comme ça, tout ce qui ronge et fait aïe, à l'instant où elle retrouve tout ce qu'elle a laissé là sans l'avoir résolu ? Elle se baisse d'un cran chaque fois. Un peu plus proche des six mètres sous terre.

C'est tellement dommage. On en a raconté des conneries dans les années 80. No future, on sert plus à rien, tout a été vécu, découvert, c'est plus drôle, na. Y'a plus qu'à pousser ses wagonnets et creuser son trou.

Merci. Franchement. J'vous raconte pas la bagarre chaque fois que je veux faire croire que moi, pauve tite étrrrangèrre, et puis surtout, juste moi quoi, toute seule, je vais sauver le monde de son manque d'amour. De quelle arrogance je me permets, etc, etc...

Pourtant, dites à un enfant qui découvre que le monde est vachement plus grand que sa maison qu'il a la capacité de le modeler à son goût et le savoir des ancêtres nécessaire à bien choisir ce qui est vraiment à son goût et pas au goût d'un autre. Le zèle qui survient dans l'instant, la machinerie de l'imaginaire qui se met en route, la schématisation par le dessin, la construction et au final la matérialisation d'un modèle nouveau, à tester, plus ou moins au goût souhaité.

Pourquoi gâcher ça par des conditions totalement inappropriées à encourager ce zèle ?

Ne prenez pas la question à la légère. Pensez combien de fois vous avez empêché un enfant de traverser la rue seul parce qu'il est dangereux de traverser seul quand on est enfant. Si d'emblée vous aviez accepté que lui aussi a ses risques à vivre, vous lui aurez appris qu'il est dangereux de traverser une rue sans mesurer le danger et comment le faire. En plus ça vous aura évité d'y revenir le lendemain. 

Cette question est un vrai examen. Êtes vous prêt à aimer sans peur pour l'autre mais avec de l'encouragement et de la confiance ?

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lundi 22 février 2010

YIPIKAHEYHEEEEEY !

C'est parti les amis ! Un premier agent de l'armée des 72 anges, et pas des moindres, l'agent 44, Guerrière de lumière, a été matérialisé dans la nature...! Qu'elle soit remerciée et couverte de joie !

N'empêche, maintenant... Suspens... Que va-t-il arriver ? Et si vous le rencontriez ?

En attendant, vous pourrez déjà consulter en exemple mon premier tirage de cartes d'anges gratuit. Étonnant, non ? Moi-même, ça m'épatate !

dimanche 21 février 2010

Vehuiah, ange qui exalte, ma petite voix et moi

Ma Petite Voix Intérieure : C'est comme nous, on s'exalte, on s'enthousiasme toujours pour tout, et tout le monde il est beau jusqu'à preuve du contraire !
Moi : Ouais. Tu te souviens les mecs ? Combien étaient "Le" bon, d'office on pouvait aller se réserver une place ensemble, en maison de retraite, avant que le bon n'arrive pour de bon ?
Ma Petite Voix Intérieure : Oui, n'empêche qu'il est arrivé. Enfin moi je parlais du site des 72 anges, de cette nouvelle initiative, de ce blog, de tout ce que les gens pourront y raconter, et surtout, de tout ce qu'ils vont vivre, et comme les P'tits Anges vont leur apporter du réconfort, et tout, les tissus sont super doux, comme on saura se molletonner, s'emmitoufler... se réchauffer et s'embaaaaaalleeeeeeeeeer !
Moi : Ebé... rien que ça... Tu peux te fatiguer c'est ton libre droit. Mais c'est la crise j'sais pas si tu sais. Les gens ils vont pas courir faire la queue pour donnner 33 € par T-shirt dont les bénéfs iraient où d'abord comme d'ailleurs ?
Ma Petite Voix Intérieure :  T'es qu'une rabat joie. Et tu ne m'auras pas. J'ai toute une armée de p'tits anges avec moi. Ca va marcher, parce que ça fera du bien à plein de monde qui a besoin qu'on soigne aussi son âme, son libre arbitre et sa créativité.
Moi : C'est délicat, l'âme. Et puis c'est farouche en ces contrées. Ca te taxe de gourou barge en moins de deux si seulement t'y touche. Et...
Ma Petite Voix Intérieure :  Et tu me dis ça à moi qui la chevauche sans relâche, toi qui n'y comprend jamais rien et à qui j'essaye de traduire au quotidien. Mais tu peux te fatiguer, toi aussi t'as tes droits. On se fera des massages après. 
Moi : Tu crois que cette fois c'est la bonne, hein ?
Ma Petite Voix Intérieure :  Oui !
Moi : Tu crois vraiment qu'on va lever toute une armée, hein ?
Ma Petite Voix Intérieure :  Tripleyeah !
Moi : Et c'est parti les kikis... 


1 - Ange qui exalte

"Véhuiah nous donne le Feu Créateur Primordial. il nous donne la capacité d'entreprendre, de commencer et d'avoir du succès dans nos entreprises. Il nous aide à être le premier dans notre spécialité, à être un leader. Il nous apprend à développer la volonté.(source)

Certains pensent que les anges sont des noms de Dieu. Véhuiah est élevé et exalté au dessus de tous".

Or, un exalté exalte qui veut bien se laisser faire. Acceptez l'offrande de ces mots, que vous soyez croyant ou non, d'une religion à anges ou sans. Ressentez l'exaltation, juste avant de faire quelque chose, puis ressentez là pendant que vous le faites, et ensuite, ressentez là encore lorsque vous avez terminé de la faire. Quelle que soit la chose que vous faites. Essayez. Juste le temps d'accepter que vous êtes en mesure de la ressentir à chaque instant. Quoi qu'il vous arrive. Quel que soit l'être qui vous manque. La blessure qui vous ronge. La guerre qui vous emprisonne. L'offrande est là, si vous acceptez de la cueillir.

Le plus exaltant, je trouve, est la liaison de cet ange et cette capacité humaine émotionnelle avec la notion de création.

...

Rien ne se fait sans l'exaltation des commencements. C'est comme insuffler à une pensée toute l'énergie nécessaire à la matérialiser en un résultat. C'est se donner le courage et se positionner dans l'état physique et émotif adéquats à traverser le chemin nécessaire à la création.

Quelle que soit la chose que vous créez.

Alors pourquoi, bon sang de bois d'hiver, s'acharne-t-on a trouver la critique qui fera de nous la personne qu'a dit le truc intelligent de la soirée ?

Y'a pas de raison. Si ce n'est que l'on vous apprend à argumenter les j'aime et les j'aime pas, et que si vous séchez, vous êtes jugé ceci ou cela. Pour s'encourager les uns les autres, il faut du courage. Ca tombe pas du ciel. Ca s'insuffle. Sans que ça coûte rien.

Chaque ego construit des armures pour parer les critiques. Ca, ça coûte en féraille. On se charge le dos du fardeau. Mais allez-y, osez, faites un compliment à votre boulanger avec exaltation, qu'il s'entende jusqu'à l'église. Observez la réaction.

Lorsque vous remarquerez la chaleur rebondir sur lui et vous revenir, ne soyez pas radins, maintenez le ping-pong. Observez la chaleur chauffer.

Et ensuite décidez. Vous avez découvert l'une de vos capacités. Une force. Quand et pourquoi souhaitez-vous l'utiliser ?

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et sans laquelle rien ne commence, rien ne se poursuit, et rien ne se termine 
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Google sait tout pour vous

"Le savoir est une arme" sont des mots clés suggérés par Google keyword tool.

Que l'armée des 72 anges se lève !

L'appel est lancé. Vous n'aurez qu'à enfiler l'armure, dessus au su de tous ou dessous en cachette, et venir nous raconter ce qui vous arrive. Si vous êtes assez nombreux pour que quelqu'un se décarcasse, on passera à l'étape n°2. Le lâcher d'effets papillon.




Je ne veux pas vous brusquer. Je vous laisse vous réveiller doucement. En vous attendant, je vais m'essayer à la traduction temporelle. Ange après ange, nous allons examiner les situations contemporaines qui bénéficient grandement de la compréhension véhiculée par les 72 anges. 


Quand je dis nous, pas de panique. C'est juste moi, et ma petite voix intérieure.